Ce que disent les neurosciences sur la mémorisation des connaissances
Ne fuyez pas, cet article prend tout un tas de chemins simples pour vous faire devenir en une page des expert(e)s de la neuropsychologie cognitive.
1. Trop d’informations tue l’information
2. L’information doit être utilisée de manière critique
4. On peut conditionner un apprentissage ou une réaction (c’est-à-dire provoquer une mémorisation ou les réflexes inconscients)
Sleon une édtue de l’Uvinertisé de Cmabrigde, l’odrre des ltteers dans un mtos n’a pas d’ipmrotncae,la suele coshe ipmrotnate est que la pmeirère et la drenèire soit à la bnnoe pclae. Le rsete peut êrte dans un dsérorde ttoal et vuos puoevz tujoruos lrie snas porlblème. C’est prace que le creaveu hmauin ne lit pas chuaqe ltetre elle-mmêe mias le mot comme un tuot.
Non, je ne me suis pas mis à taper frénétiquement sur mon clavier pour sortir une suite de caractères au hasard. Cela-dit, la plupart d’entre vous auront pu lire le fameux écrit émanant de Cambridge (en tout cas parait-il). Que nous apprend ce texte ?
Si j’analysais le retour d’expérience brut que propose l’auteur, je dirai que c’est parce que le cerveau humain ne lit pas chaque lettre elle-même, mais le mot comme un tout. Cette théorie, qui ne manque pas de détracteurs, n’est pas celle qui m’intéresse. Ce que je cherche à démontrer est que Trop d’informations tue l’information :
Sleon une édtue de l’Uvinertisé de Cmabrigde, l’odrre des ltteers dans un mtos n’a pas d’ipmrotncae,la suele coshe ipmrotnate est que la pmeirère et la drenèire soit à la bnnoe pclae. Le rsete peut êrte dans un dsérorde ttoal et vuos puoevz tujoruos lrie snas porlblème. C’est prace que le creaveu hmauin ne lit pas chuaqe ltetre elle-mmêe mias le mot comme un tuot.
Es-ce toujours aussi simple à lire ?
Enfin, je ne résiste pas à l’idée de démontrer la véracité de ma règle n°4 (On peut conditionner un apprentissage ou une réaction) :